Publié le 28/06/2018
28 juin 2018

Convention Chambre des Métiers et de l’Artisanat/Loches Sud Touraine : Gérard Bobier dresse le bilan

Un an après la signature d’une convention de partenariat entre la Communauté de Communes Loches Sud Touraine et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat d’Indre-et-Loire, son Président, Gérard Bobier, nous livre son point de vue à mi-parcours.

Sud Touraine Active : Pouvez-vous nous rappeler la genèse de cette convention ?

Gérard Bobier : C’est une volonté que nous avons depuis déjà de nombreuses années de travailler en partenariat avec les Communautés de Communes pour plusieurs raisons. Elles connaissent leur terrain. Nous sommes dans la proximité sur tous les territoires, mais il y a parfois des renseignements qui nous échappent que la Communauté de Communes peut avoir et vice versa. Pour améliorer cette communication et ce travail de terrain, nous avons décidé de lier une convention de partenariat, pour différents sujets : l’aide à la création, la transmission des entreprises.
Nous travaillons beaucoup sur la transmission car nous avons des chiffres grâce à l’observatoire de l’artisanat sur les populations d’entreprises selon les âges et notamment ceux qui vont arriver vers la retraite et qui souhaiteraient transmettre leur entreprise. Nous travaillons aussi pour le développement du numérique.

Sud Touraine Active : Quelles actions sont mises en œuvre sur le terrain ?

Gérard Bobier : Réunions, actions sur le terrain, réunions techniques également entre les services de la Communauté de Communes et les services de la Chambre des Métiers. Nous travaillons aussi ensemble sur le développement du foncier. Aujourd’hui, nous travaillons en concertation en fonction du besoin des entreprises.

Sud Touraine Active : Cette convention est signée pour deux ans, quel bilan faites-vous de cette première année ?

Gérard Bobier : Le partenariat se passe bien, il y a des échanges qui sont réguliers. Notre bureau à Beaulieu-lès-Loches permet aussi d’avoir des contacts réguliers. Nous ferons un bilan précis en juillet pour préparer septembre et voir s’il y a nécessité de réorienter certaines actions. C’est l’avantage d’avoir un partenariat, calibrer nos actions et écouter les souhaits de la Communauté de Communes pour son développement économique.